Cáceres correspond à ces villes magiques, situées au beau milieu de terres désolées, dont l’existence demeure secrète. Sans que personne ne s’explique pourquoi. Le sentiment de joie et d’émerveillement qu’elle procure est proportionnel à la profondeur de l’oubli dans laquelle elle semble végèter depuis des siècles. Attention, merveille !
Cáceres se trouve en Estrémadure (Extramaduro en espagnol) entre Madrid etLisbonne >> dans le ventre mou de l’Espagne. Elle est bordée au nord par la Castille-et-León, à l’est par la Castille-La Manche, au sud par l’Andalousie et à l’ouest par le Portugal.
C’est la région la plus enclavée, la moins peuplée, l’une des moins touristiques et des plus pauvres avec le taux de chômage le plus élevé du pays. A priori, pas l’endroit où l’on aurait envie de passer ses vacances… et pourtant, vous n’êtes pas au bout de bonnes surprises.
Curieusement, c’est peut-être son isolement qui attire à elle voyageurs, artistes, étrangers et pélerins en route vers Saint-Jacques de Compostelle empruntant le camino depuis Séville.
Une ville posée sur une des collines formant un cordon à travers un paysage de pâturage. Une terre de steppes que l’on aimerait parcourir à cheval un cheval sur son épaule.
Au lieu de trouver une ville assoupie et poussiéreuse, la cité offre le visage et l’ambiance d’une petite ville animée, joyeuse et prête à se défendre contre ce qui pourrait en altérer la beauté. L’exploitation d’une mine voisine en 2023.
J’ai eu un coup de coeur pour ses habitants accueillants, fiers de leur ville et heureux d’en partager l’histoire et les jolies coins. Coup de coeur pour ses pierres austères et élégantes, pour ses ruelles fleuries ou fuyantes, ses points de vue nombreux vers les collines et pâturage voisins, pour ses bars chouettes – cosy, arty, médiévaux ou encore les pieds dans l’herbe avec un DJ aux platines. Coup de coeur pour ses musées aussi et ses églises, même si je n’ai pas pu en faire le tour lors de cette première visite.
Ce qui se dégage de Caceres est plus puissant et séduisant que l’unique attrait architectural lié à son histoire. Il y a un charme, un enthousiasme communicatif, une plénitude rare au de-là d’un heureux hasard et d’un alignement du temps et de l’espace. Une atmosphère.
Et Si on met de côté le caractère subjectif d’une “atmosphère”, voici les informations pratiques, l’histoire et les lieux à ne pas rater lors d’une visite.
Comment venir à Caceres
Venir jusqu’ici demande un effort, c’est aussi ce qui explique que l’endroit ait conservé son charme.
Cáceres est situé à 2h30 de Madrid et de Lisbonne.
Avion. Aucun aéroport à proximité.
Train. La gare ferroviaire de Caceres propose une liaison directe avec Madrid et Séville, ainsi qu’avec les villes voisines de Mérida, Plasencia et Badajoz.
Bus. Il existe des connexions en bus interurbains vers / depuis Séville >>, Badajoz, Mérida et Salamanque par exemple.
Parmi les villes voisines intéressantes à découvrir dans le cadre d’un road-trip :
Trujillo : 47 km.
Mérida : 70 km.
Plasencia : 83 km.
Badajoz : 90 km.
Guadalupe : 120 km.
Salamanque : 215 km.
Ávila : 230 km.
Tolède : 265 km.
Séville : 270 km.
Combien de temps consacrer à Caceres ?
Certains guides touristiques conseillent d’y consacrer quelques heures à l’ancienne cité médievale, mais cela ne me semble pas suffisant pour s’imprégner de son atmosphère et visiter les lieux les plus remarquables.
Une journée complète me semble plus appropriée pour vous perdre dans les ruelles, monter dans les clochers et faire le tour des quelques musées de la ville. Avec la découverte des environs, quelques jours paraissent plus réalistes.
Le quartier historique de Caceres occupe la partie la plus élevée au nord des quartiers modernes où se trouvent les gares routières et ferroviaires.
Il est entouré de solides murailles percées de belles portes imposantes. Cela donne à l’ensemble un air de citadelle impénétrable aux assauts de la modernité.
La vieille ville est composée de rues pavées étroites, de placettes et de bâtiments en pierre datant du 14e et 15e siècles : églises, palais et bâtiments austères et sublimes habillés de détails architecturaux nombreux et somptueux.
Perdez-vous dans ces rues pour découvrir de petits trésors comme patios intérieurs ornés de fontaines, de fleurs et de plantes visibles à travers d’épaisses grilles.
Quelques bars et cafés un peu cachés et des hôtels complètent le tableau.
De jour, des groupes s’y promènent. La nuit ou au petit matin, l’endroit est des plus déserts, mystérieux et romantique. Un admirable joueur de flûte apporte parfois une note poétique à une balade nocturne.
Accolé à l’est de la vieille ville, les rues descendent étroites dans le Barrio San Antonio. C’est l’ancien quartier juif.
Un jardin d’olivier et des traces au sol marquent son emplacement près de 600 ans après l’expulsion des Israélites d’Espagne.
Les maisons aux façades hétérogènes et décrépites évoquent le charme du Portugal voisin. Quelques petits jardins fournissent un brin de fraicheur et des vues sur la colline d’en face fleurie et populaire.
Un charme simple, non exubérant et qui vous touche au coeur se dégage de l’ensemble.
Sur le flanc de la colline derrière la rivière reposent quelques maisons populaires précédées d’imposantes pergolas où s’étendents des vignes.
Le soleil de l’après-midi les rendent particulièrement magnétiques. Des grappes de chiens courts sur pattes jappent au frais et à l’ombre sur les curieux venus y chercher un point de vue.
Le matin est le meilleur moment pour apprécier la vue panoramique de l’horizon de Caceres depuis les pergolas.
Vous aurez tout pour vous : L’irrégularité des toits, l’ocre des murailles, le blanc passé de certaines façades, une coulée verte en contrebas, là où s’étendent les jardins potagers le long de la rivière. La majesté de quelques palmiers donne à la ville un exotisme quasi-biblique.
Plaza Mayor
Au pied de l’escalier menant à la porte principale de la citadelle historique se trouve une longue place bordée de terrasses de restaurants, de bars, de glaciers et d’hôtels. C’est le point névralgique et le lieu de rencontre des locaux et des touristes.
La place est dominée par la Torre del Bujaco, une tour médiévale du 12e siècle, qui a été utilisée à la fois comme tour de guet et comme horloge.
À côté de la tour se trouve l’Arco de la Estrella, une porte d’entrée de la ville médiévale, qui date du 18e siècle.
La place connut plusieurs vies avec des physionomies plus végétalisées et plus supportables sous le soleil. Aujourd’hui c’est sauve-qui-peut et en journée, la place se transforme en poele brulante. C’est en soirée que la Plaza Mayor reprend vie et s’offre en spectacle.
Ici se trouve l’office de tourisme avec une équipe sympathique parlant même le français. Fichtre !
Cocathédrale Santa Maria
L’autre lieu incontournable d’une visite est l’église principale.
Construite au 13e siècle sur une ancienne mosquée, elle a été agrandie et modifiée à plusieurs reprises au fil des siècles, donnant lieu à une combinaison de styles architecturaux : Portail et voute gothique mais intérieur principalement Renaissance.
La vue depuis le clocher est une bonne raison pour les laïcs de payer l’entrée (5 euros). Le maitre autel en bois « à blanc » (c’est à dire sans les dorures) est un chef d’oeuvre de la Renaissance espagnole.
Quelques chapelles méritent également votre venue que vous aimiez la sculpture, la peinture ou que vous souhaitiez prier dans un cadre de grande beauté.
La chapelle Mayor de style Renaissance apporte un souffle d’harmonie dans un pays dominé par un baroque boursouflé souvent morbide ou halluciné.
Un petit musée (pas inintéressant) avec des objets religieux, joailleries, quelques sculptures en bois et des capes élaborées de super-héros-communiquant-avec-Dieu complètent la visite.
La semaine sainte est l’occasion d’une procession du Jésus noir de la Concathédrale, ainsi que de Notre Dame de la Montagne dans une ferveur empreinte de mysticisme propre à l’Espagne. C’est l’évènement le plus important et le plus spectaculaire de l’année.
Eglise San Francisco Javier
Sa façade originale, avec deux tours blanches symétriques et dépouillées, est devenue le symbole de la ville.
On paye l’entrée pour la vue depuis les 2 tours. La plupart des visiteurs montent au sommet de la première mais selon la vue depuis la 2e est plus intéressante. Si vous êtes curieux et que vous etes en forme, je vous conseille de monter au sommet des deu
Une expo en Playmobil avait lieu de lors de mon passage peu après Paques. Autant dire que les scenes bibliques prenaient une dimension assez cocasse. Le baiser de Judas à Jésus, les deux un grand sourire niais aux lèvres, comment dire…
Adresse : Plaza de San Jorge
Musée d’art contemporain Helga de Alvear
Combien de villes de 100 000 habitants perdues au milieu de la pampa peuvent se prévaloir d’un musée gratuit exposant les toiles d’un Kandinsky, d’un Klee, d’un Ai Shi ?
Cela ne surprendrait personne de trouver un musée de cette classe dans une capitale européenne, mais dans une petite ville de la régionla plus pauvre d’Espagne, cela peut paraître surprenant.
La collection est aussi impressionnante que le lieu d’exposition moderne sur plusieurs étages. La collection d’art contemporain d’Helga de Alvear serait l’une des plus importantes d’Europe avec près de 3000 artistes représentés.
Des citations d’artistes parfois trop conceptuels pour moi rythment des oeuvres suffisamment variées pour se trouver ému, amusé ou surpris : Art abstrait, Land art, installation assez dingue, optical art, photos réalistes du 20e siècle…
Le musée de la ville est hébergé dans le Palacio de las Veletas. Ce palais a été construit au 14e siècle. C’est un exemple d’architecture mudéjar, avec des éléments gothiques, Renaissance et baroques ajoutés au fil du temps. La cour intérieure est un point fort de l’architecture du palais, avec ses arcades en briques rouges et ses colonnes en pierre.
La vieille citerne arabe attire les visiteurs jusqu’au musée. C’est le vestige maure le plus spectaculaire. Il aurait appartenu à un ancien palais dont il ne reste autre trace. La citerne est soutenue par des colonnes romaines et wisigothes dans l’esprit récup visible aussi à la Mesquita de Cordoue. Sa fraicheur à 1000 ans, ce qui à de quoi donner le vertige.
Ce n’est pas l’unique ni la principale raison de vous rendre au musée dont les collections comprennent des vestiges archéologiques, des artefacts ethnographiques et des oeuvres artistiques.
Archéologie. Si la présentation est vieillote, quelques pièces méritent d’y jeter un oeil, à commencer par les idoles anthropomorphes de l’âge de bronze, sévère et énigmatique comme leur équivalent des Cyclades en Grèce. Les dieux prenaient alors des formes d’animaux notamment de sangliers. On louait leur force, leur détermination et leur courage. C’est encore ce qu’on ressent lorsqu’on croise une de ses bêtes au hasard d’une balade en forêt.
Il est dommage que les descriptions les plus complètes sur l’Espagne wisigothe soit uniquement en espagnol.
Ethnographie. La collection ethnographique est la plus intéressante du musée. Elle vous permettra d’associer un contexte religieux, culturel, social et économique à la région.
Plusieurs dizaines de costumes surprennent par leur différence : l’éxubérance fleurie et étonnamment modernes de certains contre la sobriété élégante d’autres. Sans ête un fashionista dans l’âme ou même m’intéresser particulièrement à la mode, ce sont selon moi les plus belles pièces du musée.
Si vous aimez, vous aussi, les motifs fleuris, ne ratez pas l’exposition du musée ethnographique de Cracovie lors de votre passage en Pologne.
Collection d’art. La collection d’art comprend une peinture de Jésus par Goya. Le Christ en gloire mais blafard donne l’impression de faire un mauvais trip. Souvenir d’adolescence de joint trop chargé qui vous faisait passer du rose bonbon au vert amande.
D’autres oeuvres d’art contemporaines et abstraites auront peut être vos faveurs mais elles n’eurent pas vraiment les miennes.
Il y a deux raisons d’aller visiter cette ancienne maison arabe du 12e siècle.
La 1ere est de visiter Caceres un lundi et de découvrir que tous les autres musées sont fermés.
La 2eme est de vouloir écouter de la musique arabe traditionnelle.
La 3eme raison (il y a une 3ème raison après tout) est d’être orientaliste, d’éprouver une fascination pour l’orient, son faste, sa sophistication et ses mystères ou de replonger avec nostalgie dans vos souvenirs de séjour en riad à Fès ou Marrakech.
Le lieu est assez exigu mais il présente l’organisation d’une maison arabe avec les différentes pièces et fonctions. Le jardin est mignon, le hammam évoque d’heureux souvenirs, les poufs et coussins donnent une furieuse envie d’un thé à la menthe.
On pourrait presque classer le lieu en tant qu’attrape-touriste mais cela reste très correct pour le prix d’entrée (1,5 euros) en comparaison de lieux équivalent à Cordoue par exemple.
Le musée Vostell-Malpartida abrite des œuvres de l’artiste Wolf Vostell, la collection Fluxus – Donation Gino Di Maggio et une collection d’artistes conceptuels.
L’exposition rassemble 250 œuvres, installations, peintures et sculptures de 31 artistes d’origine européenne, nord-américaine et asiatique qui, depuis la fin des années 1950 et 1960, ont synthétisé les bouleversements dans tous les domaines de la culture dans les mouvements Happening et Fluxus.
Adresse : Calle los Barruecos, s/n, 10910 Malpartida de Cáceres Site officiel : http://museovostell.juntaex.es
Mina de la Esmeralda
Amateur de tourisme industriel et minier, de géologie, d’urbex et de street art convergeront vers cette ancienne mine et sa cheminée de four. A 6 km au sud de la Plaza Mayor.
Bars à Caceres
A côté des innombrables petits rades de la ville, voici quelques lieux originaux où boire un verre et rencontrer des locaux. Tous les lieux sont situés sur une carte.
La Conce est entouré de 2 autres bars sur une place surélevée et planté d’arbres. L’un dans l’autre c’est le spot le plus vivant et le plus sympa de Caceres avec des DJ en terrasse certaines soirées. Expos de photos coquines dans le bar et super ambiance lors de mon passage. Adresse : Pl. de la Concepción, 14.
La Traviata. Pour être honnête, je ne sais pas ce que ce café a de culturel mais la terrasse est agréable avec la aussi des plantes (apparemment, cela me suffit pour être heureux). L’intérieur est charmant, version tamisé et cosy. Voici un bel endroit où se susurrer à l’oreille des mots doux et piquants. Adresse : C. Sergio Sánchez, 8
Taberna Sir Lancelot. Changement d’ambiance RADICAL ! Voici la taverne médievale par excellence. Des tables en bois solides et lustrées, un léger foutras de livres qui ne devraient pas être là dans la mesure où l’imprimerie n’a pas encore été inventée, un grand cercle énigmatique au mur évoquant une grand cible, une table de casino ou… la table ronde des chevaliers du roi Arthur (oui d’accord, je pense avoir deviné). Sa petite cour est un somptueux voyage dans le temps. Un bar avec une atmosphère dans un coin désert du centre historique. On n’aurait pu rêver meilleur lieu à meilleur endroit. Les horaires d’ouverture sont très variables. Adresse : C. de la Monja, 2
Newen Restobar. Il y a aussi ce restaurant créole plutôt arty installé dans une ancienne église où là aussi des DJ viennent poser leur platine certains week-ends. Adresse : n° 7, C. San Ildefonso.
Los Siete Jardines. Une autre otion est un bar galerie dans un jardin donnant sur les collines fleuries. L’intérieur est design et la terrasse invisible depuis l’extérieurspacieuse et agréable. Adresse : C. Rincón de la Monja, 9.
Ou manger ? Spécialités et restaurants
La cuisine locale de Caceres, célèbre pour ses tapas, ses plats de gibier et ses desserts traditionnels comme le leche frita et le bienmesabe.
L’Estremadure est également connue pour sa gastronomie, qui met en avant des produits locaux tels que le jambon ibérique, le fromage de La Serena, l’huile d’olive, les vins de la Ribera del Guadiana et les cerises de la vallée de Jerte.
Voici quelques plats typiques de la région :
Migas – un plat à base de miettes de pain, d’ail, de lard et de chorizo. C’est un plat copieux et parfait pour les mois d’hiver.
Hornazo – une sorte de tourte farcie de lard, de jambon et d’œufs durs. C’est un plat traditionnellement consommé lors des festivités de Pâques.
Caldereta de cordero – un ragoût d’agneau avec des pommes de terre et des légumes.
Queso de la Serena – un fromage de brebis à pâte molle, produit dans la région de La Serena. Il est souvent dégusté avec du pain ou dans des plats locaux.
Vino de pitarra – un vin rouge produit de manière traditionnelle dans des jarres en terre cuite. Il est souvent servi avec des plats de viande et de fromage.
Les origines de Cáceres remontent à la préhistoire, comme en témoignent les peintures de la Grotte de Maltravieso. La grotte contient des centaines de peintures, dont la plus ancienne peinture rupestre connue au monde, un pochoir à main rouge vieux de plus de 67 000 ans. Cela se produit 20 000 ans avant l’arrivée connue de l’Homo sapiens en Europe et on pense donc qu’il a été fabriqué par les Néandertaliens.
Le coin a connu les migrations de la péninsule ibérique : Les celtes, les Romains, les Wisigoths, les Maures, la Reconquista chrétienne.
L’histoire de l’Estremadure remonte à l’Antiquité, lorsque la région était habitée par les Vettons, un peuple celtique.
Au cours de l’époque romaine, l’Estremadure était connue sous le nom de Lusitanie. Les Romains construisent plusieurs camps sur une route stratégique. Norba Caesarina, futur Caceres, deviendra une ville stratégique et prospère. Certains murs construits par les Romains aux 3e et 4e siècles existent encore, dont la porte : Arco del Cristo.
Après la chute de l’Empire romain d’Occident, la ville est détruite par les Wisigoths et entra dans une période de déclin jusqu’à ce que les Arabes conquièrent Cáceres au 8e siècle.
Les Arabes reconstruisirent la ville, y compris un mur, des palais et diverses tours, dont la Torre de Bujaco. Ils ont laissé leur empreinte dans l’architecture et la culture de la région.
Cáceres fut reconquise par les chrétiens au 13e siècle (1229).
La ville possédait alors un important quartier juif. Au 15e siècle, 140 familles juives y vivaient sur une population totale de 2 000 habitants. La population juive a été expulsée par la reine Isabelle et Ferdinand d’Aragon en 1492 après la prise de Grenade, mais de nombreux vestiges de la présence juive de l’époque sont encore visibles aujourd’hui dans le Barrio San Antonio.
Au 15ème siècle, l’Estremadure a connu une période de prospérité avec la découverte de l’Amérique et l’exploitation des richesses du Nouveau Monde. Cette période a vu l’émergence de grandes familles nobles, telles que les Pizarro et les Orellana, qui ont laissé leur empreinte dans les villes de la région.
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